J’ai bien entendu voté en faveur de ce texte qui vise à suspendre temporairement les règles européennes actuelles qui contraignent les compagnies aériennes à exploiter la plupart de leurs créneaux de décollage et d’atterrissage, si elles ne veulent pas les perdre l’année suivante. C’était un non-sens total d’un point de vue social, économique et environnemental de les maintenir vu le contexte actuel et les fermetures de nombreuses frontières.
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